III - Le culte de lignage se matérialisant par les chapelles
de familles. 1 - La diversité du "type" temple de famille. Les migrations inter temples sont
courantes. Il faut ajouter des déplacements vers un troisième type despaces
religieux de culte tamoul se matérialisant par les chapelles de famille. Ces espaces de
culte nont pas de véritable identité pour certains auteurs. Mme Florence CALLANDRE
(1) parle despaces de culte domestique" Koylou p. 421. - les temples personnels destinés à des activités collectives. - les temples des guérisseurs. - les lieux de culte familiaux. M. Christian BARAT (3) parle des "tanp tamoul"
(koïl) et de "sapèl malbar" (temple dusine) pour catégoriser les
deux premiers types despace. Pour lui, "les emplacements de cultes
domestiques, situés généralement dans la cour à proximité de la maison revêtent les
aspects les plus variées : une simple pierre plantée, un autel de pierre sur lequel sont
scellés quelques monestarlons, une petite niche ou un petit koylou familial (sapèl
personnel) qui abritent quelques monestarlons, sélé, padon et soulon."
Nargoulan. B- Les lieux de cultes. Cit. p 144.
À Saint-André, la densité est la plus
importante. Le zonage inter-quartiers est séquentiel avec entre autres le quartier du
Petit-Bazar, Cambuston, les chemins du Centre, Maunier ont une multitude de petits temples
de famille. En comparaison, dans la zone opposée vers Bras des Chevrettes, Rivière du
Mât les Hauts, le culte de lignage est quasi inexistant . (1) Florence
CALLANDRE; voir p. 421. |
Copyright © Lynda SAVARANIN - 2002